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La Villanelle

  • : La Villanelle
  • : Des adultes qui chantent pour leur plaisir commun ! Une chorale qui mérite d'être connue ! (Au moins pour son ambiance !)
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  • Lavidad
  • Chef de chœur,Directeur musical d'une harmonie : HARMUNBO compositeur et acteur de spectacles pour enfants, prof dans une école de musique et diverses associations musicales et ce tout en vrac ...
  • Chef de chœur,Directeur musical d'une harmonie : HARMUNBO compositeur et acteur de spectacles pour enfants, prof dans une école de musique et diverses associations musicales et ce tout en vrac ...

NOS DATES

 

le Premier Décembre 
Maison de retraite de Pithiviers
15h00

le 08 Décembre 
Téléthon à Dadonville
15h00

Répétition le 25 Octobre 2018

MOT du CHEF

La Villanelle fait partie de L'Association

LAVIDAD

Association du Loiret (45) qui gère aussi le choeur d'hommes

Les Fous des Gammes

Météo locale

Météo Dadonville © meteocity.com
29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 10:47
La suite des aventures de Clüpchnick et des délires du chef qui emprunte une connexion wifi pour éditer ... Chuuuut !

La religion m’ennuie… C’est peut-être un effet d’optique, mais je crois que le gars là-haut, ne voit pas tout quand il est assis dans son fauteuil. Ça doit être un peu comme au théâtre quand  un chignon te bouche la vue. Pour voir, tu penches la tête d’un côté puis de l’autre et en fait, tu rates toujours un bout de la pièce … C’est à la fin quand ta voisine que tu avais invité te demande :

Ah, c’est pour cette raison que la fin était si triste ? Moi je n’ai vu qu’un chignon entrecoupé de bouts de pièce de théâtre …

Imaginez Le Grand là-haut sur son strapontin en train de se triturer la vue (seulement quand il y a du monde…) parce que Marie est en train de se refaire le chignon sous son casque sèche cheveu et qu’il ne voit pas bien si c’est une guerre ou une partie de football qui se fait en bas et d’un seul coup il décide de punir tout le monde. Un beau cyclone, tient, une tempête carabinée histoire de calmer les gamins et toi tu te retrouves avec le toit du théâtre sur la tronche en te disant dans un dernier soupir que tu ne sauras jamais la fin de l’histoire et encore moins, si les sous-vêtements de ta voisine son assortis à ton maillot de corps ! La religion n’est peut-être pas si ennuyeuse qu’elle n’en à l’air … vue sous cet angle.

 

Voilà ce qui me traversa l’esprit chemin faisant avant d’arriver sur la place, devant l’ancien presbytère d’Arlones

Naferre m’avait dit qu’aujourd’hui il y avait une répétition par pupitre ce matin et une répétition d’ensemble cet après-midi. Au programme : « Lever de lune sur mon dessus de lit », première partie d’un triptyque musical contemporain « Service Trois Pièces », Œuvre emblématique (c’est d’ailleurs la seule) d’un jeune compositeur gay qui n’aspire (on ne rêve pas !) qu’à devenir célèbre : ARISTIDE DUTRU, surnommé amoureusement par un contrepéteur  mutin et sûrement un peu jaloux : « Le fou DUTRU ». A noter, pour votre culture générale et votre voisin de palier, vous qui êtes des ignares, ignorants tout du courant de musique contemporaine gay mais pas triste du début du XXI° siècle, que la deuxième partie est un Allegro Maestoso titré « Le Vent des Mérous » composé pour un tromboniste soliste à cou lisse (son préféré) avec son instrument à coulisse aussi mais inversée et que la dernière qui est en même temps la troisième partie (je rappelle pour les mous du truc que c’est un triptyque !) est un Largo intitulé « Aime, Emoi, Las ! » qui donne la part belle à la Flûte Traversière en rut à vibrato intégré surtout dans les dernières mesures ou l’envolée de la mélodie évoque à merveille la jouissance ultime du compositeur quand il est devant un Banana Slip brésilien. Une merveille !

 

Enfin, moi si j’ai l’air d’en connaitre plus que vous sur ce sujet que sur l’éveil sexuel des arachnides en milieu hostile, c’est qu’Adrien Naferre m’a fait tout un cours, qui m’a paru interminable et qui ne s’est arrêté que quand j’ai pu lui réciter par cœur ce que je viens de vous dire. Soi disant que pour me faire accepter des musiciens de l’orchestre il fallait que je partage leur passion et que je comprenne leur musique. Quel métier !

Me voilà, malgré tout, à pied d’œuvre devant l’ancien presbytère ! Je frappe à la porte avec ma clé de voiture (vous savez pourquoi ?). Une cacophonie assourdissante m’accueille dès l’ouverture de la porte !

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